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Vivre avec une arthrose de hanche non opéréeLa rapidité d'évolution de l'arthrose de la hanche varie d'une personne à l'autre. Arthrose de hanche : ne pas oublier le suiviVotre médecin traitant assure votre suivi.
Modifier son alimentationAllégez vos articulations pour ralentir leur dégradation en adoptant une alimentation équilibrée et en perdant du poids si vous êtes en surcharge pondérale. Arthrose de hanche : adapter ses activités physiquesAu quotidien, il est important de ménager l'articulation de hanche douloureuse, tout en restant actif. Ménagez l'articulation douloureuse :
Pratiquez une activité physique adaptée à vos aptitudes physiques pour vous muscler et mobiliser vos articulations :
Demandez conseil à votre médecin traitant : il pourra vous proposer un programme d’exercices adapté à vos capacités et à votre état douloureux : suivez-le consciencieusement pour une meilleure efficacité. Consultez les informations en langage « facile à lire et à comprendre » (FALC) sur l’activité physique adaptée (A.P.A.) et comment la pratiquer, en téléchargeant la bande dessinée A.P.A. - Activité Physique Adaptée (PDF), réalisée par l’association CoActis Santé dans le cadre de son projet SantéBD. Aménager son domicile pour faciliter les déplacementsPensez à aménager votre environnement (par exemple la salle de bains, la cuisine, les toilettes) afin d'éviter les chutes :
Apprenez à vous relever si vous êtes tombé(e). S'informer et se faire aiderSi vous avez des difficultés à vous déplacer et si vous perdez votre autonomie en raison de votre arthrose de hanche, informez-vous sur les aides auprès du Portail national d'information pour les personnes âgées. Les personnes âgées et leurs proches peuvent trouver au point d'information local dédié aux personnes âgées tous les renseignements nécessaires pour faire face à leur perte d'autonomie. Pour trouver les coordonnées de ces points d'information, consultez sur l'annuaire des points d'information locaux du site pour-les-personnes-agees.gouv.fr. Vous y trouverez également :
Vivre avec une prothèse de hancheLa surveillance et le suivi après une pose de prothèse de hancheAprès votre sortie d’hôpital ou de clinique, votre médecin traitant assure votre suivi en coordination avec le chirurgien, le kinésithérapeute...Il vous accompagne pour votre retour dans votre lieu de vie habituel, prescrit votre traitement. Voici quelques conseils à suivre après la pose d'une prothèse de hanche. Bien suivre le traitement anticoagulant prescrit après la pose d'une prothèse de hancheDans la suite de l'intervention chirurgicale, un traitement anticoagulant est prescrit pour une durée limitée afin d'éviter la formation de caillots dans les veines et le risque d'embolie pulmonaire. La prise régulière et sans oubli des médicaments anticoagulants (surtout pour le dabigatran, le rivaroxaban ou l'apixaban) est indispensable. Faites vos prises de sang pour le contrôle de la coagulation sanguine lorsqu'elles sont nécessaires, ne les oubliez pas. En cas de soins médicaux ou dentaires, signalez que vous êtes sous anticoagulants. En compléments du traitement anticoagulant, le port de mi-bas de compression (ou contention) est nécessaire. Enfilez vos mi-bas de contention dès votre lever et respectez la durée de port prescrite. Participer à son suivi médicalConsultez votre médecin traitant si vous présentez des symptômes inhabituels :
N'arrêtez jamais un médicament sans en parler à votre médecin et discutez avec votre médecin des effets indésirables possibles de certains médicaments, il y a des moyens de les atténuer ou de les prévenir. Faites régulièrement les séances de rééducation par kinésithérapie, à domicile, en cabinet ou en centre de rééducation. L'arrêt de travail après pose d'une prothèse de hancheSi vous avez une activité professionnelle et venez de subir une intervention chirurgicale avec pose d'une prothèse de hanche, un arrêt de travail est la règle. Sa durée est adaptée à votre cas et dépend :
Parlez à votre médecin traitant de votre profession et des conditions dans lesquelles vous travaillez (transport, activité manuelle...) Il pourra vous orienter vers votre médecin du travail pour une visite de pré reprise. Cette visite permettra d'évaluer votre aptitude au poste de travail que vous occupez et de proposer des mesures adaptées ou une reprise d’activité à temps partiel pour motif thérapeutique, si nécessaire. À votre retour en entreprise, après un arrêt de travail supérieur à trente jours, une visite de reprise auprès du médecin du travail est obligatoire dans un délai de huit jours. La reprise des activités sportives et de loisir après une pose de prothèse de hancheAprès votre retour à domicile, reprenez progressivement votre vie normale en respectant les conseils et exercices initiés pendant votre séjour à l’hôpital ; vous limiterez ainsi le risque de de la prothèse de hanche présent pendant les 3 premiers mois environ. La conduite automobile est possible après 6 semaines environ. Ne reprenez pas vos activités sportives et de loisir sans en avoir eu l’autorisation de votre chirurgien. En général, une prothèse de hanche permet la pratique de la majorité des sports de loisirs en dehors des activités violentes telles que le ski nautique… La reprise est le plus souvent possible après le troisième mois et doit être progressive. Quelles sont les 2 causes les plus fréquentes des ostéonécroses non traumatiques de la tête fémorale en France ?L'ostéonécrose de la hanche atteint des patients jeunes ; elle est souvent bilatérale et irréversible. La corticothérapie, l'alcool, la drépanocytose, la dyslipidémie sont les facteurs associés les plus fréquents.
EstExamen clinique
L'ostéonécrose n'étant pas réellement douloureuse dans un premier temps, elle est souvent diagnostiquée à un stade relativement avancé.
Où se situe la douleur de l'arthrose de la hanche ?La douleur, premier signal de l'arthrose de la hanche. le plus souvent, d'une douleur au niveau du pli de l'aine, qui irradie vers l'avant ou l'intérieur de la cuisse ;. d'une douleur dans la fesse qui irradie derrière la cuisse ;. Qu'estLes infarctus osseux sont des ostéonécroses aseptiques, ischémiques, survenant aux métaphyses ou diaphyses des os longs, par opposition aux ostéonécroses épiphysaires. Ils sont rares et de prévalence exacte inconnue.
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